Au travail, le plus difficile, c'est d'allumer la petite lampe du cerveau. Après, ça brûle tout seul. (Jules Renard )

M-Sd Samia

A Monsieur le Premier Ministre,

Hôtel Matignon

Rue de Varenne, Paris.

Le 26 mai 2010 à Onnaing

Monsieur le Premier Ministre,

Une personnalité politique a déclaré que le retour des femmes à la maison permettrait de résoudre bien des problèmes dont entre autre celui de faire baisser les chiffres du chômage. J’ai été profondément outré par ces propos insensés et je vais vous en faire part dans cette lettre.

Comment pouvons-nous tolérer de tels propos ? Ou est passé l’égalité ?

Tout d’abord, d’après cette personnalité politique, s’il y aurait moins de femmes en train de travailler il y aurait moins de chômage, mais au contraire, les chiffres doubleraient. Entre les vieux travailleurs qui partent à la retraite et les jeunes qui ne sont pas en âge de travailler, les femmes ont une place importante dans la société. Il y a actuellement 10.1% de chômeurs en France qui recherche du travail, y compris des femmes. Si vous supprimerait le travail des femmes certes quelques hommes occuperaient leur place mais il y aurait tout de même beaucoup plus de chômage. Sachant que des hommes ne pourront surement pas occuper tous les postes que les femmes avaient déjà, tel que les métiers de tissage ou même les métiers où il est nécessaire d’avoir fait des études longues, car il est démontrer que les femmes font plus d’études que les hommes.

Par ailleurs, dans la devise de notre pays, qui est un symbole de la Ve république, n’y a-t-il pas « Egalité », et cette égalité est valable dans quelque domaine que ce soit. Que ce soit dans la scolarité ou même dans notre vie quotidienne, elle doit y être présente.

Normalement, un homme politique doit être un intermédiaire entre le peuple et le pouvoir et doit s’appuyer sur des valeurs qu’il doit connaître et non insinuer des propos qu’il ne peut même pas prouvé. Notre république nous a déjà montré l’égalité homme, femme en donnant le droit de vote aux femmes en 1944 alors pourquoi ne pas continuer aujourd’hui en laissant les femmes libres de leur choix et libre de faire ce qui leur plait. Pourquoi devrait-elle des études longues ou courtes pour rester à la maison et faire les tâches ménagères, alors qu’elle pourrait réaliser leurs rêves.

La femme n’est elle pas un homme comme les autres ?

La femme a les mêmes droits que les hommes dans tous les domaines, et dire le contraire serait contredire un symbole de notre république.

L'égalité des sexes est acquise en droit. Certains hommes s'étonnent encore que les femmes exercent les mêmes fonctions qu'eux, mais je suppose que c'est par modestie. André Frossard

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Premier ministre, mes salutations distinguées.

M-Sd Samia

1ere Partie :

Le titre, l’auteur et l’éditeur

Le titre de ce livre est Kiffe kiffe demain écrit par Faïza Guène. Ce livre a été édité par Hachette littératures.

Résumé

Doria, quinze ans, jeune Française d’origine marocaine, vit seule avec sa mère à Livry Gargan, une cité de la banlieue parisienne. Un matin son père est retourné au Maroc pour épouser une femme plus jeune et sûrement plus féconde lorsqu’il a appris que sa mère ne l’était plus. Dans ce livre, elle raconte son quotidien, celui de son quartier et fait le portrait de ceux qui l’entourent : sa mère, femme de ménage dans un hôtel, Hamoudi, son ami d’enfance, la psychologue, Mme Burlaud, Nabil le nul, ou encore sa tante Zohra. Elle a un regard plutôt pessimiste sur la société jusqu'au jour où elle tombe amoureuse de Nabil.

Personnages principaux

Doria : Jeune adolescente de quinze ans et personnage principal qui raconte son parcours dans ce livre.

Yasmina : La mère de Doria, femme de ménage dans un hôtel.

Hamoudi : Ami d’enfance de Doria.

Mme Burlaud : C’est la psychologue de Doria qui s’habille mal et sent le « Parapoux », Doria va la voir tout les lundis.

Nabil : Il donne des cours de soutien à Doria et en profite pour lui voler un baiser. Elle tombe amoureuse de lui peu de temps après.

2eme partie :

J’ai aimé :

J’ai trouvé l'histoire tout simplement géniale et emprunt de vérité sur la vie dans une cité, on balance entre humour et émotion. Doria est une « héroïne » attachante et à qui on peut s’identifier très vite. J’ai aussi aimé le regard neuf que porte Doria sur la banlieue.

Je n’ai pas aimé :

Dans ce roman, le langage était assez familier mais ne m’a pas trop gêner en soi. Je n’ai pas trouvé de choses à redire sur ce roman que j’ai tout simplement adoré, mis a part qu’elle juge les gens seulement sur les apparences.

Je conseillerais :

Ce livre, je le conseillerais à tous ceux qui peuvent craindre la cité, pour leur montrer qu’il n’y a pas que de la violence ou autre, qu’il y a des personnes qui veulent s’en sortir financièrement, au travail etc. Il ne faut pas juger que sur les apparences…

1

Je me souviens du jour où j’ai frappée ma cousine avec mon plâtre quand j’avais un an.

2

Je me souviens qu’en primaire, à la cour de récré, je faisais de la corde à sauter.

3

Je me souviens de « Rillettes Bordeau-Chesnel : nous n’avons pas les mêmes valeurs. »

4

Je me souviens des premiers ordinateurs que j’ai connus « Windows 98 ».

5

Je me souviens des Barbis « Bratz ».

6

Je me souviens des premières game-boy.

7

Je me souviens du jour de ma photo de classe en maternelle où je m’étais faite toute belle.

8

Je me souviens du DVD du film « Taxi 3 »

9

Je me souviens de mon ancien chanteur préféré « M.Pokora »

10

Je me souviens que pendant mes vacances en Tunisie, je suis montée sur un chameau et j’en été ravie.

11

Je me souviens de mon premier entraînement de tennis.

12

Je me souviens de mon ancienne meilleure amie.

13

Je me souviens d’un livre que j’ai adoré lorsque j’étais enfant « Jojo lapin ».

14

Je me souviens d’une maison qu’on avait qualifiée, moi et mes amis, de « hantée ».

15

Je me souviens de «  Fraîcheur de vivre : Hollywood chewing-gum »

16

Je me souviens de la route pour aller à la salle de sport en primaire.

17

Je me souviens des berceuses que me chantait ma mère avant que je m’endorme.

18

Je me souviens du jour où un être cher à mes yeux a disparu.

19

Je me souviens des longs trajets de colonie de vacances.

20

Je me souviens d’un cours d’histoire en cm2 quand j’avais failli m’endormir sur la table.

Bienvenue à toutes et à tous sur le blog pédagogique d'une élève de 3eme Londres.